
Ce film est le premier film à dévoiler la choquante vérité derrière la crise économique de 2008.
L’effondrement du monde globalisé de la finance, dont le coût s’est élevé à plus de 20 milliards de dollars, et qui a causé pour des millions de personnes, la perte de leurs maisons et de leurs emplois qui, encore aujourd'hui, garde les États-Unis sur le seuil de la faillitte économique mondiale.
En reçevant sa statuette, après les remerciements d'usage, il a scandé avec mépris (et avec raison) au micro:
"To this day, three years after the crisis, none of the financial leaders made a single day in prison and this is highly unnaceptable".

Merci United Snakes of America.
Pourtant en 1987, 800 dirigeants financiers avaient été envoyés au cachot à la suite du scandale des Savings & Loans. Obama ne pouvait pas, en 2008, mordre la main qui le nourissait : Goldman-Sach. C'est Wall Street et la haute finance des États-Unis qui possède le gouvernement. La démocratie n'est toujours que l'écran de fumée pour donner l'impression au peuple qu'il a son mot à dire.
Le pauvre Obama aura été coincé de partout. Comme Kennedy cochonné dès le départ par la catastrophe de l'invasion de La Baie des Cochons. Dès son entrée en présidence, il a hérité des débris d'une des pires administration de l'histoire des États-Unis, puis l'économie a planté mais personne n'a été puni.



Explique-nous comment tu ferais, Clem.
Jean Coutu, Paul Desmarais, les frères Lemaire, Pierre Péladeau, Rémi Marcoux, Guy Laliberté, Alain Bouchard ont risqué, créé et contribué à la société et tant mieux si ils sont devenus riches. Ils ne devraient pas susciter de colère mais de l'admiration.
Mais comment trouver un brin d'admiration chez ceux qui ont dûment exploité le peuple et qui vont les faire payer pour leurs conneries en plus?

Ce que la société me dirait, selon ce qu'il faut croire, c'est "paie pour les autres".
Regardez-moi bien plumer l'ancien proprio.
Je lui promets un chien de ma chienne.
Et l'euthanasie qui vient avec.