Cécile Charonnat et Fabrice Piault ont publié un article dans LH 860 sur les librairies. Dans l’ensemble, le premier trimestre n’a pas été terrible dans les librairies, même si certaines s’en sortent. Les deux journalistes ont donc dressé une liste de « huit recettes anti-crise » pour les points de vente :« choisir ce qu’on vend »
Eh oui, contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, les libraires ne sont pas toujours maîtres chez eux : des logiciels calculent automatiquement les titres et les quantités qui sont envoyés d’office aux points de vente. Outre les logiciels, il y a aussi les représentants qui notent les commandes.
« déménager ou faire des travaux »
« coller à sa clientèle »
On en revient au point 1, avecchoisir ce qu’on vend : les livres proposés doivent correspondre aux attentes de la clientèle et à son pouvoir d’achat. D’où les dangers de l’office s’il est mal adapté, car cela occasionne des retours.
« jouer les collectivités »
« donner envie »
Pour que les gens entrent dans le magasin, il faut une vitrine attirante, une mise en scène des livres à l’intérieur. Je pense également que ça passe par l’accueil et la politesse du personnel. Si les employés et la direction tirent la gueule, ne disent pas bonjour et ne sont pas aimables avec la clientèle, il ne faut pas s’étonner si les gens vont effectuer leurs achats ailleurs ou sur internet.
« mettre l’imaginaire au pouvoir »
« miser sur internet »
« racheter ses murs »
Source : http://www.docteur-watson.com/avril-2011.html