2èmes partie :
Qu'elle et cette réalité ?
Qu'elle et le fond du débat ?
Alors, après, il y a le fameux "U.C.I.A.L" (Union Commercial Industriel et artisanal local, si je ne me trompe pas) puis quelques associations, fédérations (même si minime) de quartier, de rues.
C'est organismes, c'est associations, ses regroupements des commerçants gèrent les besoins d'activités du quartier du général Leclerc et de la rue de l'UNION, etc.
Je ne m'est pas, dans mon article, en doute, en causes les revendications et/ou les doléances des commerçants de la ville de tels ou tels quartiers que ce soit clair.
Mais, s.v.p., je souhaiterais avoir si possible tous les sons de cloche.
Car il y a les commerçants qui ont des affinités avec la municipalité (A. Sourdon) et d'autres qui ont des affinités avec l'opposition (J. Leroy).
Alors, comment savoir, prendre une vraie température dans ces conditions-là, sachant que chacun des camps dira le contraire de l'autre ? (rire).
Alors oui, nous avons quelques rues qui posent problème :
1 - Rue de l'Union.
2 - Rue du maréchal Leclerc.
3 - Rue de Morsant.
4 - Rue Assegon.
5 - Rue de Lisieux.
6 - Rue de la Charentonne.
7 - Rue Gabriel Vallée.
8 - Rue Lobrot.
Pour ne citer que celles-là (pardonnez-moi et corrigez-moi si j'en oublie quelques-unes, rire).
Toutes s'est rues citer ci-dessus ne sont pas dénuer de clientèle non évidement, mais celles-ci ne représente en gros que les habitants d'un rayon d'action limité et pas plus grand que trois pâtés de maisons en gros (soit 5 à 600 mètres).
Donc, la ville et là, tel que nous la connaissons.
Puis un beau jour on crée, on lance l'idée, car cela semble être à la mode (fin années 1970 débuts des années 1980).
Alors, à grands coups d'études (coûteuses) de marcher, d'études sociologiques, etc., ont (ils) en tire le (les) bilan(s) suivant qui disent alors en quelques mots :
"Il faut faire bouger, évoluer notre ville".
Ainsi s'engagent des tranches de travaux qui sont lancés sur 20 ans (ainsi que le remboursement de leurs coûts, cela va de soi).
Priorité alors et fait à ce que l'on appelle le "Centre-ville" puis viens ensuite ce que l'on appelle si je puis dire les "Périphéries" (voir liste de noms de rues ci-dessus).
C'est rues ont déjà du mal à être fréquenté hors travaux ne nous leurrons pas, voilà qu'ont vas les amputés de leurs flux de passage pour cause de travaux d'amélioration de la ville, mon dieu.
Alors, des réunions sont faites sur les quartiers, dans les périphéries, on consulte les habitants, les commerçants et tous (plus ou moins) sont alors d'accord (je me répète) sur le "P.L.U" (Plan Local Urbain) et/ou le "P.O.S" (Plan, d'occupation des sols) qui va alors redessiner la ville, redistribué les cartes.
Mais, c’était s'en réfléchir à l'impact négatif de ses travaux.J'ai envie de dire que tant que ceux-là se font là-bas dans telles ou telles rues on s'en fou un peu, mais ce qui se passe là-bas justement arriver à grands pas vers eux, ah, ah, ah.
Et c’est là où le bât blesse.
Alors, après les travaux sur papiers, la présentation des plans, etc., s'était s'en compter sur les blocages matériels et concrets des rues durant entre 3 et 6 mois par les services de "EDF", "GRDF", de la voirie municipale, de "France Télécom", etc., etc.
Ainsi créés, redessiné, les rues, les trottoirs, ainsi créés quelques nouvelles places de parkings, la construction de mini ronds-points pour désengorgés tels ou tels croisements au cœur de la ville, etc., waouh, que tous cela nous peut nous semblez beau non ?
Fin de la seconde partie...