A propos de précieuses ridicules...

Publié le 20 avril 2011 par Theatrummundi

Ce moyen, connu de toute éternité des dramaturges, consiste pour l’auteur qui y est contraint à mutiler son texte. Moyen extrême ! Ainsi font les lézards qui, pris par la queue, s’en séparent pour prendre le large. Parce que tout lézard sait très bien qu’il vaut mieux vivre sans queue que ne pas vivre du tout.

Molière avait bien raisonné :