Hervé Kempf, dans sa chronique du Monde daté du 20 avril, relève que Luc Ferry, dans le Figaro du 31 mars tenait ces propos :
La nature, aujourd'hui encore, demeure notre principale ennemie.
Cette vision, que certain espéraient archaïque, de la Nature, de son apport à l'humanité, montre soit que la droite ne sait plus comment mobiliser ses troupes (et envoie des signaux de plus en plus absurdes), soit qu'elle a réellement plusieurs trains de retard.
Les résultats du ComOp "Trames verte et bleue", auquel ont participé des représentants du monde économique et industriel, ont clairement montré notre dépendance à la qualité de notre environnement. Les évènements récents soulignent l'adage populaire selon lequel :
On ne peut pas contrôler la Nature.
L'analyse d'Hervé Kempf est limpide est montre ce décalage d'une part de la classe politique, malheureusement au pouvoir.