Sofia nous écrit

Publié le 19 avril 2011 par Maurice Puault


Bonjour,

Si il y a 3 mois la ville des Lilas était partie prenante de l’aventure de la collecte des déchets par pneumatique avec la ville de Romainville comme le souligne l’article du parisien du 10 janvier 2011, cette aventure, ce serait-elle arrêtée ?

Dans les 4 pages spécial EST ENSEMBLE du journal local de Lilas du mois d'avril 2011 à la rubrique « collecte et traitement des déchets » aucune référence n’est faites au transfert de la collecte par pneumatique Romainville/les Lilas à la communauté d’agglomération. Un transfert effectif depuis le 1er janvier 2011 pour la collecte et en septembre 2011 pour le personnel.

Mais serait on soulager de voir cet équipement transféré à la communauté d'agglomération et faire assumer ainsi la facture astronomique de la centrale de déchets ainsi que son fonctionnement par les 9 villes de EST ENSEMBLE !

Sofia Dauvergne

Conseillère Municipale de Romainville

Sofia Dauvergne

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Lu sur le site de la ville des Lilas :

http://www.ville-leslilas.fr/infos/infoslilas/pdf/infoslilas_1104.pdf

Collecte et traitement des déchets

Depuis le 1er janvier 2011, c’est l’agglomération qui est responsable de la collecte des ordures ménagères, du ramassage des encombrants, du ramassage des poubelles de rue. Nous sommes actuellement dans une période transitoire où les villes assurent le service pour le compte de l’agglomération car celle-ci ne s’est pas encore dotée des moyens humains nécessaires. A partir du 1er septembre 2011, le personnel de chaque ville travaillant dans ce secteur deviendra un agent de

la communauté d’agglomération. Pour les Lilas cela concerne trois agents (deux agents chargés du ramassage des corbeilles de rue, un agent responsable du programme de prévention des déchets).

ET, surtout un peu plus haut dans ce dossier :


Les villes entendent demeurer maîtresses de leur destin

A la création d’Est Ensemble deux principes essentiels ont été arrêtés : une ville peut se retirer à tout moment de l’agglomération et rien ne peut lui être imposé contre sa volonté. Les villes restent donc maîtres de leur destin et décident volontairement de travailler en commun pour le bien de tous.

Comme le disait Jean-Christophe Averty : à vos cassettes (pour payer ce ramassage par pneumatique) !