Me promenant samedi rue de Bretagne pour me remettre de mes émotions-rencontres de blogueur(se)s.
Un billet de blog qui n’intéressera certainement que les cyber-carnettistes. Bouh ! Pas bien ! Vilain ! Cette petite mise en bouche pour mes lecteurs non blogueurs et ils sont légion (une petite dizaine de fidèles que j’ai identifiés au gré de mes visites en mon Périgord natal ou de mes échanges épistolaires, Sophie B, Eric M, Monique L, Elisabeth B, euh ben, euh, ça fait 4, qui ne pipent mot au jargon bloguesque mais qui, plein d'indulgence, viennent s’abreuver de notions aussi incongrues que relatives). Derrière les blogs, il y a des vrais gens. Des gens qui bloguent et touittent et regardent le ciel et causent vénitien, météo, broderie, politique, beuveries, etc. Des vedettes qui, au regard de mes 4 fidèles lecteurs et des millions de Français qui s’en tamponnent des blogs avec la patte arrière de leur axolotl femelle [moi causer français comme vache catalane, bah, peu me chaut du verbe chaloir], ces vedettes ne sont que d’illustres inconnus, (…) ceci dit cesdites vedettes éprouvent peu de curiosité à l’égard de leurs voisins de tablée qui ont le malheur/bonheur de nager le papillon dans les tréfonds des classements de blogs qui n’intéressent, il faut le dire Elvire, pas grand-monde. [Mauvaise foi, moi ?] [Enième pensée parasite : je vais encore me faire des amis.] C’est bien connu, le blogueur politique ne s’intéresse qu’à la politique. Inutile de prévenir mon gentil troll, il aura vite noté que je bloguais aujourd’hui banalités, démagogie, enfonçage de portes ouvertes et raccourcis en veux-tu en voilà. Je joue les langues d’aspic ? C’est bien mal me connaître. Je ne citerai pas les noms des gens que je n’apprécie pas. Si ? Pantoute ! (…) On te salue en allongeant le bras et la pogne mais en évitant soigneusement de croiser ton regard, et puis ce même « on » demande à « être ami » sur Twitter. Bah ce « on » est allé voir ailleurs si j’y étais. Et je n’y étais pas. Trêve de parlage-pour-ne-rien-dire, j’en ai un char et puis une barge de choses à faire, t’sais. Ma valise m’attend, je vous enverrai des becs du Québec. Si vous êtes sages.1. Se sont malencontreusement glissés dans ce billet des expressions québécoises et des liens de blogs amis
2. Je vous attends sur les ondes d’une gentille petite radio (lien) où Zette et moi (jetlagué) z’allons causer culture, vendredi, à 10h15. Y devrait y avoir un podcast de rattrapage pour écouter l’immémoriale prestation. Ça va les mollets ?