Dans ce billet, trois vidéos d’installations qui mettent en jeu la dynamique de la lumière. Rien de très neufs, avec les moyens de programmations dont on dispose depuis quelques années, mais je trouvais qu’il y avait quand même matière à réflexions – pas trop profondes, je vous rassure tout de suite. La première vidéo met en jeu la performance autour de la lumière – et l’interaction entre performeur et éclairage. Dans la deuxième, l’installation, très belle au demeurant, sert de toile de fond à un espace public, et se fait traversée par des passants qui semble l’ignorer. La dernière est totalement contemplative : on dirait qu’elle a lieu dans l’Altes Museum de Schinkel, à Berlin, qui contient une salle inspiré du Panthéon de Rome (Hadrien Empereur architecte). Jusqu’où peut-on détourner les codes architecturaux classiques ? Le choc des langages nous apprend-il vraiment quelque chose sur l’architecture néo-classique et l’art contemporain? Je vous laisse réfléchir et ramasse les copies vers midi précise.
La première installation est A4, coopération entre le pianiste Coréen Jin Wook Lee et les groupes Lumpens et Octamin. Elle s’inscrit dans le cadre plus large d’un projet de Lumpens traitant des rapports entre danse et VJing.
La seconde installation nous emmène à Montréal, elle est signée Baillat Cardell et Fils – je vous jure que ce n’est pas une marque de Whisky, et ce n’est pas très malin de suggérer ça d’ailleurs
La troisième, BBASS, est de Florian Licht – un nom prédestinant
Source : TheCreatorsProject, Triangulation