Interlude.

Cà fait un moment que je dois écrire une Lettre Ouverte..au Pervers Narcissique. La dernière lettre du genre que j’ai faite, s’adressait aux Nappex ( « Lettre ouverte aux Nappys Extrêmistes : je me défrise et je vous emmerde » ) et on sait ce qui en a découlé, surtout hors de mon blog ( ma tête mise à prix sur certains forums,pages facebook,pièce de théâtre,mémoires de thèse sur l’identité noire..). Ce fameux article m’a même permis de rencontrer quelqu’un avec qui je suis extrêmement proche aujourd’hui d’ailleurs, bref. Que l’on me croit ou non, cela n’était pas calculé. Je l’ai écrit, comme souvent, d’une traite et tel que çà me venait, tout en essayant de structurer la chose. Enfin…bon, il y a prescription donc je peux vous l’avouer: c’est la deuxième version de mon post que j’ai publié. La 1ère version, je l’ai envoyé à mes proches qui, bien qu’ils comprenaient mes propos parce que me connaissant bien, doutaient que les lectrices/eurs « captent le délire » comme disent les jeunes. Quand je vois comment certaines ont réagi violemment, je ricane parce que si elles avaient lu ce que j’avais écrit à la base..Anyway.
Je voulais donc aborder ma 3ème Lettre Ouverte ( la 1ère datant de mon Skyrock Blog, Lettre Ouverte à un Goujat ) . Ici, je comptais m’adresser au pervers narcissique, qui en dehors d’être une caractéristique psychologique, est d’abord une personne, en l’occurence un homme.
En fait, c’est quelqu’un qui je pense, nous sommes plusieurs à avoir rencontré, sans toutefois avoir su que cà en était un. Petit ami, collègue de boulot, patron, connaissance ou même ( malheureusement ) père, le P.N. est un cyanure qui tient sur 2 jambes. Il vous use, vous humilie, vous manipule et le pire dans cela est qu’il en souffre lui-même, à-travers vous. Son appétit pour la destruction psychologique de l’autre est aussi démesuré que son égo, et çà, généralement vous ne vous en rendez compte que lorsqu’il est trop tard.
Mes écrits sont peut-être un peu trop vagues, mais je tenais à mettre çà ici comme un post-it. Quand j’aurai un peu plus dans de temps d’ici un mois, j’entreprendrai donc de rédiger cette lettre. Elle se différenciera sûrement des deux premières parce que je ne pourrais pas l’écrire d’une traite, il me faudra choisir/peser mes mots. Et aussi parce que pour une fois, mon texte ne concernera pas que moi exclusivement.
A mes risques et (nombreux) périls.

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