Une fois n’est pas coutume, ce dimanche ne sera pas en image musicale mais en illustration de ce qu’est un « pauvre mec« .
Squattant l’ancien appart de ma soeur pendant la période dite de préavis, j’ai un toit mais pas de télé (merci le passage au numérique tout ça). Du coup, j’ai comblé le vide télévisuel du samedi soir où t’es trop crevée pour faire quoi que ce soit d’autre, par le visionnage de plusieurs chaînes de replay. Et là, je me suis dit que j’avais raté les 2 dernières séances de Confessions Intimes. Et crois-moi lecteur, la session du 14 avril, c’est du bijou à mille carats !
Je te présente la vidéo qui m’a fait le plus halluciner, me remercie pas, c’est cadeau ! : http://www.wat.tv/video/je-suis-colerique-alors-3ls1f_2ey5v_.html
J’ai juste été choquée, choquée par la violence verbale de ce mec, choquée qu’il utilise de tels mots envers la femme qu’il est censé « aimer », choquée par le manque de réactions de celle-ci. Pour moi, il lui mettrait des tartes dans la gueule que ce serait aussi violent.
Donc si à la maison, tu as le même spécimen que ce taré, je te propose de l’envoyer faire un stage avec moi et on verra qui des 2 aura les oreilles qui chauffe, parce que c’est à coup de pelles que je réponds à ce genre de vocabulaire. Je sais que la violence engendre la violence mais merde, un mec qui parle comme ça à sa gonzesse dans les rayons du Leclerc, je le suis jusqu’au parking et je l’écrase avec mon Hummer.
Tu comprendras donc que pour ma santé mentale et mon casier judiciaire vierge, il faut que j’épouse un mec tendre, compréhensif et sans cordes vocales.