Depuis plusieurs semaines déjà, certains d'entre eux ont commencé à organiser des rassemblements et des occupations d'école en province et même en Ile-de-de-France pour s'opposer aux projets de fermeture. Beaucoup ont reçu le soutien d'élus locaux, y compris de membres de l'UMP. D'autres actions sont programmées cette semaine, en particulier dans le Jura où dix villages risquent de se retrouver sans école à la rentrée. La FCPE, qui a lancé une pétition nationale, prévoit une manifestation le 18 mai, selon le Journal du Dimanche Dénonçant une "certaine désinformation", le ministre de l'Education nationale,Luc Chatel a répondu dimanche qu'il ne s'agissait pas d'un problème de moyens mais d'une adaptation, académie par académie, en fonction des besoins. "Le budget est le plus important jamais consacré à l'Education nationale, 60,5 milliards d'euros", a-t-il plaidé au grand rendez-vous Europe 1/Le Parisien. "Alors que le budget de l'Etat est à évolution zéro, ce budget de l'Education augmente de 1,6% (...) Donc, les moyens, ils sont là", a-t-il ajouté. Sans contester la légère augmentation (4900) du nombre d'élèves, Luc Chatel a répété que le budget de l'Education ne pouvait continuer à augmenter à l'infini et que sa politique visait à rendre le système plus efficient. Avant d'argumenter une nouvelle fois : "Nous travaillons main dans la main avec les recteurs, les inspecteurs d'académie, au plus près du terrain (...) C'est aux acteurs de voir comment le système peut mieux s'organiser".
Depuis plusieurs semaines déjà, certains d'entre eux ont commencé à organiser des rassemblements et des occupations d'école en province et même en Ile-de-de-France pour s'opposer aux projets de fermeture. Beaucoup ont reçu le soutien d'élus locaux, y compris de membres de l'UMP. D'autres actions sont programmées cette semaine, en particulier dans le Jura où dix villages risquent de se retrouver sans école à la rentrée. La FCPE, qui a lancé une pétition nationale, prévoit une manifestation le 18 mai, selon le Journal du Dimanche Dénonçant une "certaine désinformation", le ministre de l'Education nationale,Luc Chatel a répondu dimanche qu'il ne s'agissait pas d'un problème de moyens mais d'une adaptation, académie par académie, en fonction des besoins. "Le budget est le plus important jamais consacré à l'Education nationale, 60,5 milliards d'euros", a-t-il plaidé au grand rendez-vous Europe 1/Le Parisien. "Alors que le budget de l'Etat est à évolution zéro, ce budget de l'Education augmente de 1,6% (...) Donc, les moyens, ils sont là", a-t-il ajouté. Sans contester la légère augmentation (4900) du nombre d'élèves, Luc Chatel a répété que le budget de l'Education ne pouvait continuer à augmenter à l'infini et que sa politique visait à rendre le système plus efficient. Avant d'argumenter une nouvelle fois : "Nous travaillons main dans la main avec les recteurs, les inspecteurs d'académie, au plus près du terrain (...) C'est aux acteurs de voir comment le système peut mieux s'organiser".