Auteur : Régine Magda Len
Éditeur : Publibook
Publication : 2011
Nb de pages : 272
Résumé :
« Je la connais, la mort » : c’est presque sur ces mots que commence l’histoire de François. Le vieil homme révèle à ses enfants ce que furent ses véritables luttes… Indochine, Vietnam, et toutes ces guerres innomées, intimes. François exhume ces années de feu qui lui ont dérobé sa liberté, son honneur et son grand amour. Entre Danang, le Laos et Diên Biên Phu, on le suit à travers les tranchées et les camps, égaré dans une Histoire qui lui échappe. Plus on avance dans le récit, plus ce tempérament à la fois rebelle et sage nous frappe par sa lucidité et sa générosité. « Nous sommes à chaque instant ce que le passé nous a commandé de devenir, et ce que l’avenir nous commande de dépasser » : ces propos résument parfaitement l’état d’esprit du narrateur ; déchiré et cependant tout d’une pièce.
Témoignage édifiant et incarné d’un périple qui, du maquis Vietminh aux troupes colonialistes françaises, nous entraîne à travers une histoire mouvementée. Les amitiés d’éprouvent, les amours s’obstinent, les masques tombent parfois… Basé sur des faits historiques réels, très bien documenté, ce récit distille les essences aigres-douces d’un ailleurs volontiers dépaysant et terriblement touchant. »
Mon avis:
Ce livre est tout sauf une partie de plaisir.
Un style lourd et alambiqué à l’infini, dense et touffu. Je n’ai pas pu pénétrer une seule fois le récit.
Je n’ai pas du tout eu de plaisir à le lire, et,ce, malgré un peu d’humour, le genre d’humour qui laisserait Catherine Barma de marbre.
Les personnages se ressemblent et se confondent, à cause de descriptions un peu hâtées et le fait que un François se retrouve entre Binh, Tuyêt et Shon, perpétue le flou dans cette histoire.
Désolée donc, et je remercie les éditions Publibook et Blog-o-book pour leur envoi.
Je me promets quand même de donner une deuxième chance à ce roman dans quelque temps.
Un grand MERCI à D.