A WEBERT CHARLES.
Clairvoyance de l'âme
pour une autre âme
Poème venu
des célestes lactescences
jusqu'à mon coeur.
Ton île comme un brasier sur la mer
ne laisse jamais s'éteindre les braises
des fascinations.
L'amour est un fleuve qui va
insouciant de l'érosion des berges,
Tout à coup le silence, inexpliqué,
Les retours inutiles
et toujours la cruauté des non-dits.
Carpe Diem, avec toi, avec un autre,
attendant que le Mal s'invite un jour,
Convive indésirable .......
le 15 Avri l 2011