39e anniversaire de la mort de Yasunari Kawabata

Par Benard

Yasunari Kawabata (川端 康成, Kawabata Yasunari), né le 14 juin 1899 et mort le 16 avril 1972, est un écrivain japonais, prix Nobel de littérature en 1968. Considéré comme un écrivain majeur du xxe siècle et obsédé par la quête du beau, la solitude et la mort, il a écrit en particulier des récits très courts, d'un dépouillement stylistique extrême, regroupés plus tard en recueils, mais ses œuvres les plus connues internationalement sont ses romans comme Pays de neige (1935-1947), Le Grondement de la montagne (1954) ou Les Belles Endormies (1960-1961).

 

Bibliographie partielle
Paru aux éditions Albin Michel (titre original suivi du titre français et dates d'édition)
Tenohira no shosetsu - 1916 à 1963
Récits de la paume de la main - 1999
Shōnen - 1921, 1948
L'Adolescent - 1992
Onsen yado - 1926, 1931, 1980
Les Servantes d'auberge - 1990
Izu no odoriko - 1926, 1953
La Danseuse d'Izu - 1973
Asakusa kurenaidan - 1930
Chronique d'Asakusa - 1988
Chirinuruo - 1933
La Beauté tôt vouée à se défaire - 2003
Yukiguni - 1935, 1948,1955
Pays de neige - 1960, traduit par Fujimori Bunkichi, texte français par Armel Guerne
Yama no oto - 1949, 1954
Le Grondement de la montagne - 1969
Meijin - 1954
Le maître ou le tournoi de go - 1975
Mizuumi - 1955
Le Lac - 1978
Nemureru bijo - 1960
Les belles Endormies - 1970
Koto - 1962, 1968
Kyôto - 1971
Kataude - 1963
Le Bras - (in : La Beauté tôt vouée à se défaire)
Utsukushisa to kanashimi to - 1965
Tristesse et beauté - 1981
Suishō gensō - 1980
Illusions de cristal (in : Les Servantes d'auberge)
Shitai shōkai-nin - 1980
Le Pourvoyeur de cadavre (in : Les Servantes d'auberge)
Kurutta ippêji - 1980
Une Page folle (in : Les Servantes d'auberge)
Kawabata Yasunari-Mishima Yukio : ohfuku shokan - 1997
Kawabata-Mishima, correspondance 1945-1970, traduit et annoté par Dominique Palmé, préface de Diane de Margerie - 2000
Paru aux éditions Plon (10/18)
Sembazuru - 1949, 1952
Nuée d'oiseaux blancs - 1960 et 1986, traduit par Fujimori Bunkichi, texte français par Armel Guerne