Pris au piège
De mailles perlées
Je joue quelques arpèges
Sur ta harpe endiablée
Tu vibres feuille à feuille
Et je cherche la clé
De sol, de Fa ou d’Ut, sans orgueil
Dans ma nudité
Crever la toile pour me dégager
Percer le mystère de ce jardin
Où tu m’as fait prisonnier
Dès la rosée, de bon matin