Trois comme les Drôles de dames sauf que ce sont les tops Coco Rocha, célèbre mannequin de l'agence Elite, Heidi Mount, dernière chouchou de Karl et Jeneil Williams, la sublime Jamaïcaine. Chacune représente un des modèles designed by Karl : respectivement rayée rose et blanc, élégante à pois ou rock star.
J'adooore le travail de Karl le Grand, qu'il s'agisse de Chanel, de ses photos exceptionnelles, de ses pubs où l'infâme gilet de sécurité jaune fluo façon Stabilo Boss (non cet article n'est pas sponsorisé) pourrait devenir le it-gilet über décalé qui relègue celui de Pierre au placard ou encore de celle pour la Golf so french friendly et il reste mon maître absolu.
Un second regard a déçu mon furtif espoir tandis que je me demandais si monsieur Karl avait basculé dans le kitsch absolu en associant Naomi (Campbell) la panthère, Mireille (Mathieu) la demi déesse française au Japon (Alain Delon en homme quoi...) et Vanessa (Paradis) la divine. Je me suis dit, "là Karl, tu vas peut être un peu loin dans le second degré mais tu n'as peur de rien, tu es le plus grand". Mais non, les personnages s'appelleront Eleonore, Bernadette et Irène la version TV. Je suis presque rassurée.