Prostitution en péril : mobilisez-vous !

Publié le 14 avril 2011 par Bravepatrie

Le scandale s’amorçait fin mars par la bouche charnue de Roselyne Bachelot en qui nous avions une indéfectible confiance : pénaliser les clients des prostituées… Dérapage contrôlé pour amadouer les gauchistes droit-de-la-femmiste ? Même pas. Il est question à présent d’une proposition UMP-PS pour après 2012, le début de la fin en somme.

L’une des causes, l’habitude détestable d’imaginer que les Scandinaves sont LE modèle à suivre absolument dans tous les domaines, témoignant de la perte de foi de nos gouvernants dans les forces vives de la nation. Mais étonnamment, la corruption idéologique de Roselyne Bachelot ne découle pas de sa nature féminine : une preuve parmi d’autres, le courage formidable de la patriotissime Chantal Brunel qui proposait en février 2010 l’institution des maisons closes en France.

Les bonnes idées pour la France, c’est en France qu’il faut les trouver et c’est pourquoi il importe de défendre la prostitution en créant un réseau de bordels républicains. Formidable vecteur de pacification sociale – tous les scientifiques le répètent depuis des années, ce n’est qu’en rétablissant la peine de mort et en légalisant la prostitution que nous éradiquerons les viols non consentis ! - le plus vieux métier du monde peut devenir le nouveau Graal qui assimilera, dans des limites acceptables, l’inéluctable marée immigrationniste du Troisième millénaire.

Chantal Brunel : « Roselyne s’est fait vacciner contre la grippe, je peux aussi montrer l’exemple en donnant de ma personne pour le Drapeau ! »">

Chantal Brunel : « Roselyne s’est fait vacciner contre la grippe, je peux aussi montrer l’exemple en donnant de ma personne pour le Drapeau ! »

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Chantal Brunel : « Roselyne s’est fait vacciner contre la grippe, je peux aussi montrer l’exemple en donnant de ma personne pour le Drapeau ! »

La solution est simple et gratuite : placer les femmes en situation irrégulière dans ces nouveaux bordels républicains dans lesquels elles gagneront le droit d’être françaises. Et quel meilleur moyen d’intégration, quelle meilleure preuve de dévouement à la Patrie lumineuse des Droits de l’Homme que de communier intimement avec les meilleurs d’entre nous ? Les filles mineures ? Scolarisées dans des écoles spécialisées dont elles pourront rembourser les frais à loisir une fois majeures ! Un procédé carcéral ? Rien qui ne violente leur nature [1] !

Et les avantages de l’institutionnalisation de tels bordels républicains sont pléthoriques : éradication du viol, résolution de la crise immigrationniste, annihilation des mafias vivant de la traite des femmes et conséquemment, grand progrès pour les droits de la femme, gains financiers substantiels aptes à sauver la France de la crise économique par voie de taxe coïtale et surtout surtout… un regain fulgurant de moral des Français.

Naturellement, envisager un accès plein et entier à la citoyenneté française pour ces femmes de petite vie serait une injure à nos valeurs et à la morale qui ont forgé la grande nation qu’est la France. Ne copions donc pas les Suédois dont les ancêtres buvaient dans des crânes humains et pillaient nos monastères. Inspirons-nous plutôt de la glorieuse Athènes en réactivant le statut de Métèque, sous-citoyenneté accordant des droits limités à ceux qui auront fait l’effort de s’intégrer, sans pour autant faire l’erreur de croire qu’un acte administratif peut se substituer aux globules bleu blanc rouge.

Quant aux hommes en situation irrégulière, la justice impose de ne pas les laisser de côté et de leur ouvrir une voie similaire : pourquoi ne pas s’engager fermement dans la lutte contre la cruauté envers les animaux en les invitant à fournir des contingents de cobayes pour nos laboratoires pharmaceutiques ?

Notes

[1] La population carcérale noire états-unienne plus nombreuse en 2011 que le nombre d’esclaves en 1850 atteste clairement que même libres et possédant les mêmes droits que les Blancs, les Noirs aspirent naturellement à vivre en cages.