Le livre « L’intelligence émotionelle » issu d’études récentes qui repensent la notion de QI pour y intégrer les émotions dans les relations humaines, a aussi eu l’avantage de regarder l’intelligence autrement.
La définition du Wiki du concept d’intelligence émotionnelle dit ceci :
Différentes significations sont données au terme d’intelligence. Toutefois, que l’on parle d’intelligence artificielle, d’intelligence humaine ou d’intelligence économique, toutes impliquent le fait de rassembler de l’information, d’apprendre de celle-ci et de raisonner avec elle ; elles impliquent toutes une habilité mentale associée à des opérations cognitives.
En pleine campagne électorale force est de constater à quel point il y a matière à définir l’intelligence appliquée au domaine du pouvoir politique. Fondamental je dirais que l’on cartographie l’intelligence qui permet ou non à l’électorat de faire un choix personnel éclairé.
Mon collègue le futur honorable Jean-François Mercier lance sa candidature en s’élevant contre le peu de changements réels mis de l’avant par nos députés. Réaction donc à l’absurde du jeu politique. Le nombre de gens qui ne votent pas aussi est une réaction passive à cette absurdité perçue.
J’en conclu qu’une intelligence non cartographiée est à l’oeuvre, et que la raison ne semble pas percer.
Comment raisonne t-on quand on est incapable justement de « rassembler de l’information, d’apprendre de celle-ci et de raisonner avec elle » ?
Le tabou évidemment qui empêche d’aller plus loin est de nommer l’inverse de l’intelligence, être un cave ou un gros cave pour vrai !
Évidemment quand on croit que des tables parlent avec des morts ça part ben ben mal un réflexion politique cohérente, moi être du parti conservateur je mettrais mes pubs pendant cette émission là au pc !