Un duel, le matin dans le pré comme à cett époque où l'on défendait son honneur ou son amour dans la nature. Une brume naissante, la rosée d'un matin d'été, l'herbe fumante, calmement on choisissait son arme, fleuret ou pistolet. Les gentleman avaient la vie dure, le réflexe ou la bêtise d'un affront réel ou fictif pour s'emporter dans un face à face blessant , rarement mortel. La blessure était celle d'un honneur, d'un fac-similé de politesse, de non-dits, de routes qui ne se croiseraient plus.
Mais imaginons ce duel, de femme, non pour se détruire, se blesser, mais pour séduire. Là, deux amies, deux rivales parfois, face à un homme. Quelle sera l'arme ?
Volupté d'un buste débordant dans la dentelle, offrant sa vallée d'ombre et de désirs à son premier coup d'oeil ?
Sensualité d'une hanche marquée par la gaine, par le serre-taille pour mieux être moulée dans cette robe noire ?
Rouge éclatant, brillant de mille reflets dans la lumière du restaurant, vos lèvres ?
Coiffure stricte ou cheveux lachés, vous êtes conquérante, sublime, prédatrice de cet homme ?
A moins que cela ne soit q'un choix de nylon, de chaussures entre ballerine et hauts talons, vous avez le choix, pour le mettre au sol, à vos pieds !
Nylon fin ? Motifs décoratifs ? Couture ? Jambes nues ?
Duel de Séduction, qui gagnera ?
Nylonement