« On commence à redécouvrir la dimension humaine et poétique de son mobilier, la sensualité des matériaux, l’harmonie des formes qui tient de l’observation de la nature » explique Jacques Barsac qui vient de lui consacrer le livre Charlotte Perriand et la photographie. Par exemple, sa chaise longue Tokyo aurait été inspirée par une pince à sucre japonaise en bambou.
Des Bouroullec à Didier Versavel, plusieurs créateurs ont intitulé leur œuvre Charlotte en hommage. C’est l’histoire du mobilier qui s’écrit avec cette expo.