The House at Riverton (Les brumes de Riverton), c’est un petit peu la vieille dame du film Titanic dans les décors du sublime The remains of the day (Les vestiges du jour) d’Ishiguro.
Du sirupeux, de l’élégant. Un intéressant contraste.
Tous les ingrédients qui font les bons best-sellers y sont présents: une narration solide, la jeunesse, l’innocence, l’amour, le mystère, les retours en arrière et un thème récurrent dans la littérature anglo-saxonne, celui de l’upstairs / downstairs (les maîtres et leurs domestiques).
Une lecture passionnante et facile qui convenait parfaitement au cerveau ramolli qui est le mien en ce moment.
Lecture commune avec Manu.
La note de L'Ogresse: