Le tout en se basant sur un auteur du Ve siècle, Salvien de Marseille.
L'historien estime en effet "Nous vivons dans une époque ou les pires vices sont alimentés par les médias de masse et même inscrits dans la loi comme des droits de l'Homme. D.ieu tire le bien du mal, mais le mal doit avoir sa peine, dans le temps ou dans l'éternité".
Notons d'abord qu'il n'y a aucun rapport entre la chute de l'Empire romain et Carthage.
Rien d'étonnant de la part de Roberto de Mattei, historien de "3ème catégorie", connu pour ses lubies qui tournent autour de la "déchristianisation" qu'il découvre de façon obsessionnelle dans le moindre événement.
Il est surtout connu pour ses positions antiévolutionnistes, antiféministes, et bien évidemment anti-homosexualité, et est méprisé par ses collègues universitaires.
Le plus inquiétant est que cet homme est aujourd'hui Vice-président du Centre National de la Recherche italien, l'équivalent du CNRS français.
A juste titre une pétition, initiée par des universitaires et qui rassemble déjà plus de 10 000 signataires, réclame son limogeage.
Seigneur, pourquoi toujours le rejet?