Écrit par StarAfrica
Lundi, 11 Avril 2011 05:15
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Le 17 mars 2010, Joseph Atangana saisi la chambre pour licenciement abusif. Il relève en effet avoir été demis de ses fonctions quatre mois après la signature de son contrat qui devait durer deux ans, précisément pour le compte des saisons sportives 2009/2010 et 2010/2011. Le technicien déclare également n'avoir jamais reçu la totalité de la prime de signature de son contrat évaluée à un million cinq cent mille francs. Il réclame également quatre mois d'arriéré de salaire estimé à un million deux cent mille francs, des primes de matches gagnés, des matches nuls et un préjudice morale qu'il évalue à un million de francs.
Devant les juges de la Fécafoot, le Canon de Yaoundé par la voix de son président regrette la plainte portée contre lui par son ancien coach. Il dit notamment que le plaignant n'a jamais été licencié et que le staff dirigeant pour faire face à la crise de résultats que traversait alors le club, avait dû renforcer simplement le staff technique. Seulement, faute de preuve pour soutenir sa défense, le Canon de Yaoundé a été finalement condamné à payer le montant exigé par Joseph Atangana, à savoir 3 million 780 mille francs.
Dans un cas similaire, on a eu droit à un verdict différent. L'affaire Martial Ekoé contre Achille FC de Yaoundé, portée à l'attention de la chambre nationale de résolution des litiges de la Fécafoot en date du 17 mars 2010, s'est close sans grand bruit. Face à la plainte du coach Ekoé pour licenciement abusif et qui réclamait plus de sept millions de francs de dommages et intérêts, le président d'Achille FC, Joseph Mbanga, a proposé un arrangement amiable à savoir que le plaignant retire sa plainte et en contre partie, il reprend les rênes du staff technique d'Achille FC de Yaoundé. Proposition acceptée par le technicien...
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