Le SIEA persiste et signe. Alors qu’il est bien obligé de reconnaître que le département est raisonnablement couvert en alimentation électrique, que l’éclairage urbain est satisfaisant et qu’il ne reste plus qu’à entretenir et améliorer, nous sommes toujours taxés au maximum autorisé. Les centaines de millions d’Euros ainsi thésaurisés au fil des années ne servent en rien aux consommateurs d’électricité.Alors que l’essentiel des recettes à pour origine l’électricité, mais, ne sachant qu’en faire, le SIEA les utilise pour se faire plaisir et justifier son existence. En effet, pourquoi tirer des réseaux de fibres optiques alors que nous payons nos fournisseurs d’accès pour qu’ils le fassent. Nous sommes ainsi taxés deux fois, par le SIEA sans raison et nos FAI de bon droit.D’ailleurs le SIEA a tellement honte de sa situation financière qu’elle l’a fait disparaître de son site internet et ne communique plus son bilan.