Zoom, présences digitales et e-réputation

Publié le 09 avril 2011 par Eogez
Quelle situation initiale avant d'utiliser des médias sociaux ? Quels points forts et quels points d'amélioration ? Pour les organisations comme pour les personnes, les aspects intrinsèques demeurent la base. Par exemple, si aucune initiative de reconnaissance des salariés fait partie de la culture, une utilisation d'un intranet social ne fera pas de miracles si les mêmes habitudes sont transposées (dans un différent espace).
GIGO (Garbage In, Garbage Out) est l'acronyme le plus parlant et applicable à plusieurs domaines. Ce qui est réalisé en amont importe et a un impact sur l'aval. Logique. Cependant, les prémices d'une mauvaise exécution ou d'un aboutissant médiocre ne font pas toujours l'objet d'une focalisation poussée.
Avec les technologies digitales, on passe sur un autre espace et on a l'impression de faire un zoom. C'est pour cela que le travail de base et de fond, importe plus que toutes les formes de suivi de mode ou de tendance.
De manière générale, parler d'e-réputation de manière isolée n'est pas suffisant. Cette même répercussion (positive ou négative) sur l'environnement online est à mettre en lien avec d'autres mécanismes (souvent offline).
Donc, s'il faut être présent sur les espaces digitaux ? Oui. A condition de faire le travail de base et de ne pas céder aux pressions (concurrentielles, sociales, etc...). L'idéal est de gagner de la traction dans les conditions habituelles et ensuite, de changer d'échelle (et d'espace dans notre cas) de manière progressive et durable.
(crédit photo)