GIGO (Garbage In, Garbage Out) est l'acronyme le plus parlant et applicable à plusieurs domaines. Ce qui est réalisé en amont importe et a un impact sur l'aval. Logique. Cependant, les prémices d'une mauvaise exécution ou d'un aboutissant médiocre ne font pas toujours l'objet d'une focalisation poussée.
Avec les technologies digitales, on passe sur un autre espace et on a l'impression de faire un zoom. C'est pour cela que le travail de base et de fond, importe plus que toutes les formes de suivi de mode ou de tendance.
De manière générale, parler d'e-réputation de manière isolée n'est pas suffisant. Cette même répercussion (positive ou négative) sur l'environnement online est à mettre en lien avec d'autres mécanismes (souvent offline).
Donc, s'il faut être présent sur les espaces digitaux ? Oui. A condition de faire le travail de base et de ne pas céder aux pressions (concurrentielles, sociales, etc...). L'idéal est de gagner de la traction dans les conditions habituelles et ensuite, de changer d'échelle (et d'espace dans notre cas) de manière progressive et durable.
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