D'un jardin, l'autre ...

Nous savions qu'il allait faire beau et chaud... mais pas à ce point.

Après avoir quitté notre jardin d'immeuble à Paris, en emportant le nécessaire de travail (tricot et livres), nous avons traversé la France somptueuse et 600 km plus tard, parcourus à la moyenne de 95 km par heure et 5,5 litres de gazole, nous avons retrouvé notre havre de paix et un jardin en fleurs.
Le pommier sauvage est tout blanc, la glycine commence à envahir la tonnelle.
Il fait 27° dehors, on a ouvert toutes les fenêtres pour réchauffer la maison qui garde encore l'humidité de l'hiver. Mais quel plaisir.

Nous préparons l'arrivée des petits-enfants et de leurs parents, les meubles de la salle de bains ont été livrés et encombrent l'entrée mais qu'importe : l'été peut commencer. Ici, il dure jusqu'à la Toussaint !