Et oui ! Il y a des livres que je dévore, que je lis avec avidité. Je n'en saute pas une phrase, un mot. Et il y en a d'autres qui me rasent, qui me tombent des mains. Je me force à les terminer. Le TGV dévore les kilomètres, il les parcourt très vite. http://www.supphoto.net/galerie/photos/tgv/ Les larmes sont parfois dures à dévorer, à dissimuler. Il y a des injures, des chagrins aussi, qui sont également difficiles à dévorer. On peut difficilement les cacher. Quand le l'ennui ou le chagrin dévorent quelqu'un on dit qu' il en est rongé. Il est triste, taciturne.
- La faim et la soif te dévorent, tu as un besoin et une envie pressante de manger et de boire ? Tu n'as pas suffisamment mangé au déjeuner.
- Si le feu dévore une maison, il n'en laisse rien. Il la détruit complétement.
- La passion te dévore ? Tu te consumes d'amour pour ta nouvelle conquête. Te connaissant, ça ne sera pas éternel...
- Pour l'instant tu la dévores des yeux. Tu la regarde fixement, on dirait que tu vas la manger ! Comme aurait dit ma grand-mère : "Laisses-en pour demain"