Borloo fait un bras d'honneur à Sarko . Radical !

A force de naviguer franchement à droite voilà que le président de notre France , Nicolas Sarkozy 1er, provoque carrément un grand vide au centre. Ce bras gauche d'honneur de la part de Borloo était des plus prévisibles . Sarkozy a bien tenté de rattraper le traître au bar lors de leur dernier déplacement tendance écolo, rien ! Fâché Borloo. Tu ne veux pas comme premier ministre, je me casse de l'UMP ! Le problème est que ce radical ancien ministre part avec toute sa bande de centristes. Alors là , à l'UMP , on sent comme un parfum ..de néant , un grand moment de solitude se profile. Allez, faudrait que les jeunes du Mouvement Populaire UMP se mettent rapidos à composer un autre tube  pour lui redonner le moral au président . Quoique.. Le dernier " Si tu veux changer le monde , tralala  lalarère..." avec Douillet et Hortefeux en guest stars n'avait fait rire personne. Les centristes de Borloo en désertion, peut être de quoi redonner la pêche à notre centriste préféré : François Bayrou. On s'ennuie tellement de lui ! Depuis des mois, pas le moindre scoop dans le magazine de l'Homme MoDem ! Au lieu de faire du tracteur et murmurer à l'oreille de ses chevaux, le leader looser du milieu aurait vraiment en fait l'intention de se re-re-re-présenter aux élections présidentielles de 2012. C'est vrai qu'une élection sans Bayrou, c est comme une salade politique sans vinaigrette : fade ! Cela dit , voilà soudain beaucoup de candidats au centre. Bon, d'accord pas autant qu'au PS. Borloo a donc tapé sur le bureau du boss et claquer la porte élyséenne. Ca va sans aucun donner des idées d'évasion à d'autres membres UMP car l'issue du premier tour sent franchement le pâté. Voire la pâtée . Même les pires opportunistes de droite perdent chaque jour un peu plus leurs illusions de prendre demain un poste au gouvernement. Même dans les pages du Figaro, on sent comme un doute ..comment dire..éditorial.  C'est vous dire ! L'UMP au bord de l'implosion nucléraire ! Boom ! on va retrouver des sympathisants aux quatre coins de l'échiquier politique. Comme prévue, l'apocalypse est bien en 2012 .