Les chercheurs de l’INRA de Montpellier ont créé une nouvelle sorte de laboratoire. Trois fois par jour 1500 plants de maïs de 300 variétés différentes sont pris en photo afin d’observer leur croissance.
Le but est de découvrir quels plants s’en sortent le mieux face à tel aléa climatique. Ainsi pour créer un maïs résistant à la sécheresse, on met en place un choc hydrique. De ce fait, les variétés qui résistent le mieux à ces chocs sont sélectionnées et l’opération recommencera au fil des années. Ce processus se base sur la théorie de la sélection naturelle, ainsi il n’est plus besoin de faire appel aux OGM, la nature se charge de sélectionner les meilleurs plants, même si ici la nature est bien aidée par les chercheurs.