Ces carnets sont dédiés à la création arabe in situ et , en quelque sorte par principe, on n’y parle pas de ce qui se déroule ailleurs, y compris lorsque cela concerne des artistes venus de cette région. A fortiori, on n’y mentionne pas non plus le travail de créateurs venus d’ailleurs, quand bien même il concerne directement le monde arabe. Tout juste une petite exception pour Ernest Pignon Ernest à propos de Mahmoud Darwich… Mais quelqu’un a eu la bonne idée de me signaler ce travail de Zoo Project à Tunis, en hommage aux martyrs de la révolution. Cela mérite le détour.. Bonne lecture !
Une pensée pour Juliano Mer-Khamis, et ses proches… Pour les arabophones, Al-Akhbar, dans son édition de mardi, s’honore une fois de plus en lui consacrant tout un dossier.