La planète
LA PLANETE
Brulante de fièvre de par les rayons
La glace a renoncée à rester gelée
L’origine bien triste à ça : pollution
Peut être serait-il temps de se réveiller
La terre est pourtant gravement malade
Plutôt que de simplement assister à ça
De continuer à fredonner des balades
Nous devrions sauver ce qui est toujours là
Ne voulant pas lui porter notre assistance
Nous l’abandonnons dans sa longue agonie
Et tôt ou tard nous payerons notre imprudence
Jusqu’à finalement tomber dans l’oublie
Récoltant le fruit de nos dures semences
Nous nous apitoierons sur nos mauvais paris
Ludovic.M