C’est un scrutin crucial pour l’avenir de la Serbie et le ministre des affaires étrangères, Vuk Jeremic, le présente comme «un véritable référendum» pour ou contre l’Europe. Le président serbe sortant, Boris Tadic, réformiste et proeuropéen, affronte dimanche au second tour de la présidentielle l’ultranationaliste prorusse, Tomislav Nikol. Entre Moscou et Bruxelles:le Kosovo...