- L’éolien off-shore n’est ni un gadget ni une nuisance complaisamment mise à mal par les quelques pro-nucléaires qui restent, mais une solution d’avenir qui mérite d’atteindre l’âge adulte : la filière industrielle s’ancre à Brest (Le Télégramme), terre à la fois ventée et sans (trop) de nucléaire (mais un peu quand même : la centrale de Brennilis n’est toujours pas démantelée).
- Baisse du pouvoir d’achat (air connu) : le café, le petit plaisir qui va devenir un grand luxe (Rue 89).
- Il y a quand même deux ou trois petites choses qui s’améliorent dans ce Japon tsunamisé, notamment du côte de l’industrie des loisirs. Ça n’empêchera jamais la centrale de Fukushima de faire pipi dans la mer, mais ça rapportera des sous et ça amusera les enfants : la réouverture de Disneyland Tokyo très fortement attendue (Aujourd’hui le Japon), même s’il va encore falloir attendre un peu, probablement quelques semaines.
—> Illustration de la première info : des éoliennes bien terrestres, photographiées l’été dernier dans la vallée du Rhône, depuis l’autoroute A7, pas bien loin de la centrale nucléaire du Tricastin.