A force de parler, et c'est la force du net, j'ai été contacté par la "presse magazine" afin de travailler sur des thèmes liès à la parentalité. Je me suis même déplacé dernièrement sur Paris pour découvrir le magasine qui souhaite travailler avec moi, découvrir les règles de l'écriture, moi qui à la base n'éprouve pas une passion pour les mots et ne dégage pas un talent particulier.
Il y a deux jours une des journalistes qui devait recevoir mes notes me propose autre chose, un virage à 180°. Nous constatons elle et moi que la précarité des pères est un sujet rarement évoqué sur les blogs, les sites, à la limite un sujet "tabou". Un terme peut être fort mais qui transpire un véritable sujet, une analyse à developper.
Je vais donc travailler avec elle sur ce thème, pour le magasine, nous allons explorer les blogs "communautaires", interroger les blogueuses sur le sujet, afin de comprendre cette mécanique complexe et faire "peut-être" avancer les choses. L'intêret pour nous deux étant de ne pas sombrer dans le clivage "homme-femme".
Bon alors autant te dire que je flippe et que je passe du temps devant mon PC. Moi qui rêvait de faire un article sur les père qui veulent jouer aux playmobils, je pense que c'est mort.