Un precieux... si precieuse...
De mes larmes, de mes pleurs...
Des larmes de richesses naviguent un dégoût amer....
Les mots ne peuvent sortir de la bouche... telle une étroitesse...
Des yeux se noient de chagrin, collectionnant les soucis…
Je me chagrine, je fais le tri, je garde certains… c'est ainsi.
De mes inondations de cristaux, les flots jaillissent sans fin
Le soulagement éloigne ma détresse des va-et-vient...
De ces larmes de solitude où l'heure est à la dérive
Je sème les diamants de mon coeur sur les rives
Dans le néant infini... de mon univers.
Des étoiles dans mes yeux s'éteignent vers…
Et pourtant ...
Il fût un temps…
La mélancolie m'envahie, comme des arabesques
Tremblements à fleur de peau, tels des catacombesques,
Pénètrent dans mes entrailles, m'inondent des craintes.
De mes peurs remplissent une coupe d'absinthe.
Je ne cesserais pas cet interminable voyage !
Même si je m'enferme dans ce coquillage…
De cette peine, je connais mes joies.
De ce chagrin, je connais mon bonheur.
De mes peurs, j'apprends à me vaincre.
De mes craintes, j'achève le roman de ma vie.
Ô Tristesse se baigne dans mes larmes
Un précieux sentiment : le vouloir-vivre.
Postscriptum
Poème écrit en vrac.