Elle élimine des rires,des voix,
Des présences essentielles car amour elles furent,
Ou elles sont toujours mais ne se l'avouent,
Eloignées par la colère ou simplement la distance,
Mais souvent la mort l'impose,
Les souvenirs font de leur mieux pour accepter la chose,
L'absence demeure cruelle de vide,de silence,
Pourtant elle verra sa fin,
Eliminée par la précieuse aide du temps,
Et surtout la grâce divine de l'espérance,
Qui dévoile ces champs du possible de l'éternité,
Où le bonheur s'exprimera en de vives retrouvailles.