Analyse de la manifestation contre la fermeture de 5 classes en ville...(1er partie).

Par Unevillemaville2
Lorsque l'ont subi les assauts d'une manifestation tant en province que sur la capitale elle et toujours fait pour deux choses primordiales.
1 - Revendiquer un mécontentement quelconque de toutes sortes soit-il.
2 - Gêner la circulation et le bon va et viens de la population.
Donc l'un et l'autre font du moins tentent-il de faire pressions sur un gouvernement une société ou autre symbole de force autorité qui pensons-nous peuvent alors dénouez le nœud.
Cela, je crois de tout temps a eu sont lots de résultats (rassuré vous je ne refais pas ici l'histoire des manifestations, non, rire).
Je remarque seulement que depuis près de 10 - 15 ans celles-ci me semblent-ils, ont moins de poids des uns vers les autres
Mais, s'en doute n'est-ce qu'une idée, peut-être.
J'ai, pour vous lecteur de ce blog, couvert quelques-unes d'entre-elles niveaux locaux, celles contre le train transportent des déchets nucléaires, celles des étudiants, puis celles de samedi qui était fait contre la fermeture de cinq classes dans des écoles de Bernay.
Étant arrivé quelques minutes avant le départ, j'ai donc pu voir un Mr distribuer des drapeaux et/ou fanions aux couleurs d'un ou deux syndicats à la quelques centaines de personnes qui étaient là.
Ensuite, j'ai entendu ce même Mr donner des ordres de marche pour que cette manifestation soit la plus contraignante possible pour les automobilistes.
Mais, manque de bol, la rue Thiers était quasiment vide (en effet un samedi à 16 heures il est évident qu'une manifestation n'a pas le même impact qu'une autre faite un vendredi vers 16heures cela va de soi.
Donc oui, peu ou pas de de réelle gêne occasionner par le chemin qu'à pus prendre cette délégation, qui comme il se doit fut très bien encadré par le service d'ordre mis en place gendarmes, motards s'en doute quelque policier en civile (comme d'habitude).
Le chemin ainsi était sommes tout bien balisé.
Donc rue Thiers, rue du général de Gaulle, place Verdun, boulevards Dubus puis enfin, rendez-vous devant la sous-préfecture qui évidement était fermer ainsi que la maire et c'est la donc qu'une partie des manifestants se sont alors dissous pour que chacun vaque alors à leurs petites occupations.
Je trouve bien et regrettable à la fois que des syndicats, des politiques se mêlent à cette population pas habituée à ce genre d'action.
Mais je fus tout même content de voir des gens anonymes se mêler à cette manifestation.
Outre les sempiternels piliers de grèves et autres manifs, oui, quelques mères et habitants je le répète anonyme se sont donc mobilisé pour sauver le fond scolaire locale.Sachant que s'en doute l'une des écoles, la plus ancienne de la ville (ouverte dans les années 1850 -1860) va fermer totalement s'est portes.
Sachant aussi que cinq classes (deux sur le stade, deux sur bourg le compte et 1 en ville) ce qui sous temps la suppression du ou des maitres –maitresses cela et fort dommageable pour le bien-être de notre ville.Mais avant de crier haro sur le baudet, d'invectiver vers l'endroit de nos élues de la majorité posons-nous peut-être là où les questions suivantes :
1 - Comment née la décision de fermer une classe.
2 - Sur quels critères.
3 - Sur quelles bases ?
4 – Qui enfin sont les décideurs de telles décisions ?
Car je me dis en moi-même, "Plutôt que de rouspéter s'en savoir ou seulement porter par les idéologies syndicalistes sachons par nous-mêmes comment cela se passe" vous ne croyiez pas ?
Déjà, sur le fait de qui décide quoi, nous apprenons que :
"Chaque année, le Conseil Départemental de l'Éducation Nationale (C.D.E.N.) est consulté à propos des propositions d'ouvertures et de fermetures de classes. Le C.D.E.N. est composé du Préfet, des élus, des représentants des personnels et des usagers (notamment des parents d'élèves)." (1).
Ensuite, sur quels critères :
On parle alors de "Carte scolaire" et on nous apprend ainsi comment cela fonctionne :
"La préparation de la carte scolaire dure environ un an. Elle commence dès le mois d'octobre pour se terminer dix mois plus tard dans les jours qui suivent la rentrée." (2).
Ensuite, les rectorats et les mairies suivent une directive venue tout droit de leur ministère ici celui de l'éducation nationale et alors ils se rencontrent pour, si je puis dire, délibéré de qui feras quoi, de qui fermeras et de qui resteras ouvert.
Enfin, deux gros points vont ressortir après la réunion citée ci-dessus vont être créait :
"1 - La décision définitive appartient à l'Inspecteur d'Académie qui prend un arrêté en février après le C.D.E.N. Les personnes concernées reçoivent un courrier de la division du personnel de l'inspection académique les informant de la fermeture du poste qu'elles occupent et les invitant à participer au mouvement.

2 - Vers la mi-mai, les directeurs d'école sont appelés à retourner à l'Inspection académique l'état des élèves inscrits. Un CTPD. Est de nouveau réuni début juin, à la suite duquel certaines mesures de retrait révisable et d'affectation révisable peuvent être levées. En septembre, les derniers ajustements sont effectués au regard des effectifs constatés au jour de la rentrée. Un dernier CTPD est réuni ainsi qu'une CAPD pour l'affectation des personnels".Alors après ils y à les syndicats qui s'en mêlent, et qui pousse à la roue telle ou telle directeurs et instituteurs à tenter de réveiller les consciences des parents sur la gravitées des faits à venir.Ses ainsi aussi que certains vont aller draguer vers les politiques locales pour avoir le soutien d'un tels ou d'un tels est c'est alors comme cela que nous voyons en tête de manifestations du pseudo beau monde.FIN DE LA PREMIÈRE PARTIE....