Le psychanalyste J.-B. Pontalis nous offre un ouvrage sur le crime et, en bonus, 13 moyens de conjurer sa propre mort.
Freud (Sigmund) avait (comme toujours) raison: se méfier comme de la peste des psychanalystes, capables de tout, coupables de rien. Et, par définition, jamais où on les attend.
Prenons le cas de Jean-Bertrand Pontalis. L’homme est responsable, à lui seul, d’une vingtaine d’ouvrages dont un certainAprès Freudpublié en 1968; sans parler (avec Jean Laplanche) duVocabulaire de la psychanalyse(1967). «J.-B.» Pontalis,«figure marquante de la vie intellectuelle, littéraire, psychanalytique»,«éveilleur de conscience»et qui, à ce titre, se fait une joie de publier sans faire de distinctions entre les genres, mariant psychanalyse et littérature. J.-B. Pontalis, philosophe, psychanalyste, éditeur qui écrivit un jour:
«Privé de la lecture, je serais réduit à n'être que ce que je suis.»
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