Je n’ai jamais aimé le vélo. Sous toutes ses formes: tricycle, tandem, bicyclette, VTT. Je ne sais pas diriger ce genre d’engins, et ma dernière expérience en la matière s’est soldée par une blessure très douloureuse à la langue. Le vélo, c’est peut-être économique, écologique et tout ce que vous voudrez, mais ça me gonfle passablement. Je préfère mes pieds et la voiture pour les longues distances.
Alors vous pensez bien que le Vélib, comme dirait Chirac, ça m’en touche une sans faire bouger l’autre. Et quand je tombe sur une station Vélib comme celle en bas de chez moi, plantée là sous une rangée d’arbres à pigeons, je me dis que le Vélib, c’est avant tout un choix de vie…