AGôN. Zachary Lusten

Par Collectif Ratures // Poésie // Grenoble

           © Jef Coeck, Door (?)

A Bart et Consorts


La ruse souscrit clairement à l’allusion - l’impasse tisse la manigance. Comment scinder ce que l’on peut réunir ? Et pourquoi réfractaire l’inverse parcourt les miasmes ? Le mobile filtre l’utilitaire risque. La caricature est l’éloge du caractère - le ventre ingurgite le gouffre de l’icône.


De plus en plus déchirée, la distance s’accroche à l’appétit et encaisse futile. L’erreur enchevêtre la pieuvre. Comment changer de voie et ouvrir de multiples combinaisons ? Mieux répartie, la matière et la conséquence croissent faisant face à la réserve mûre. L’équation confie le dénuement au bouclier. Clivage, une version, ne conclue, aveu de bataille, accroche l’éclat des territoires.


Le caporal ânonne et exhorte ses troupes à dévaster le tableau. La disposition tient lieu de lutte. Les vains espoirs sont comme des maquettes, trop fragiles et sujets au confinement précieux. Les entraves couronnent la fuite probante. Les enceintes altèrent le tangible. Le pourcentage piaffe parmi les fracas.

Zachary Lusten
Le 28 janvier 2011