Le butin du Salon du livre de Paris
Evidemment, Le livre des brèves amours éternelles en présence de Monsieur Andreï Makine, au panthéon de mes amours littéraires.
Puis mes stands incontournables où s'ajoute au plaisir du foisonnement livresque celui de la discussion avec les libraires :
-L'heure du roi de Boris Khazanov ( éditions Vivianne Hamy ), un texte russe, un texte engagé, une découverte, une curiosité et un intérêt immédiat, mes compulsifs préférés.
- Les Brumes du Passé de Leonardo Padura aux éditions Métailié avec un échange sur le goût de lire Luis Sepulveda, auteur choisi cette année pour illustrer en mots le carnet souvenir.
- Le Vent dans les saules de Kenneth Grahame, juste réédité en collection poche Libretto aux éditions Phébus, l'occasion était trop belle et ce petit livre trop beau.
Tant et tant de tentations au stand Actes Sud que j'en suis repartie bredouille avec la consolation du carnet et du catalogue de la collection Actes Noirs confiés à Dame Virginie qui a eu trop peur de m'accompagner au salon....XD. ( N'empêche, je commence à mettre les croix dans le catalogue ;)
Une jolie douceur d'aquarelles en cartes et marque-pages auprès des Artisans-Voyageurs ( éditeur de récits de voyage - leur site ICI - ) qui se sont envolées en toute amitié.
Mon petit bonhomme n'en est toujours pas rassasié. Trop bien. Et trop content du mot de Mymi. Parce que Mymi, en plus du sourire et de l'attention réellement portée aux enfants qui tendaient un livre vers elle ( enfin, je devrais écrire trois ou quatre livres ! ), c'est le bonheur de la dédicace. Des couleurs, des gommettes dont une mascotte chat à choisir et des bisoux en deuxième de couverture. Pour tout ça, les histoires, les enfants, les mots, merci.
- Mymi Doinet est notamment l'auteure de la série Premières Lectures aux éditions Hatier Les métiers d'Ugo et Lisa ( présentée ICI ). Elle anime aussi des ateliers de jeux linguistiques pour l'éveil à la lecture. Son blog à elle, c'est ICI -
- Source photographique : éditions Nathan -
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" Pour ceux qui aiment les histoires et ne finissent pas de s'étonner,
pour continuer à raconter et à résister "
- Luis Sepulveda -
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