Les différents professionnels interrogés par le journal soulignent qu'ailleurs, en Autriche et en Italie par exemple, les subventions publique faussent la concurrence. «Nous ne demandons pas de subventions, mais une amélioration des conditions-cadres, des aides pour les autorisations de construire, etc.», plaide Jacques Nantermod, directeur de TéléMorgins. En fait, ce n'est pas tant le financement en tant que tel qui inquiète les remontées mécaniques, mais, comme le démontre une étude sectorielle du consultant Deloitte, la hausse des charges, des coûts de maintenance, et le durcissement de la réglementation.
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