En ce joli printemps l’ânon s’ fait tamarisIl a quitté sans peur gentille ViolaineEt loin de l’enclos, d’elle, mange avec appétitLe vert corps et ses feuilles, ô délicieuse aubaine !!
En ce joli printemps l’ânon s’ fait tamarisIl a quitté sans peur gentille ViolaineEt loin de l’enclos, d’elle, mange avec appétitLe vert corps et ses feuilles, ô délicieuse aubaine !!