Il semblerait que ce gros tas indécrottable de Gbagbo soit sur le point de devoir enfin céder son fauteuil et ses privilèges à son rival « démocratiquement » élu.
Un rival qui n’a pas pas franchement l’air d’être un tendre non plus.
Pour le bien de la Côte d’Ivoire ou pour celui du porte-monnaie de affidés de la nouvelle élite alléchée ?