Ils expliquent ainsi que les planètes se situant au milieu de la galaxie, bien trop loin d’un astre solaire, pourrait disposer d’énergie grâce à la matière noire environnante. Ils pourraient alors y avoir d’autres planètes où l’O2 serait disponible. Mais cette étude n’est pour l’instant que pure théorie comme l’explique Gregory Laughlin, de l'Université de Californie. En effet ces planètes étant trop éloignées, il est pour le moment impossible d’observer une présence aqueuse à leurs surfaces. Même si cette hypothétique nouvelle énergie semble attrayante, pour le moment les énergies renouvelables restent la priorité à développer. La consommation durable et les matériaux recyclés pourraient permettre de soutenir ce nouveau « business model ».
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