J’avais décidé de ne pas écrire de chroniques ce soir mais bon, vu comment certaines personnes qui se reconnaîtront (smiley qui sifflote) ont été de méchantes filles, je me suis tirée de Facebook et me voilà, pour ton plus grand bonheur (j’espère).
Je déconne hein ? Je me suis fait charrier sur mon âge (place aux jeunes, il paraît) mais bon, je survivrai avec ce fardeau d’avoir atteint la trentaine, la cellulite qui va avec et les rides qui, sous peu, viendront gâcher le paysage et enrichir mes chroniques de post trentenaire.
M’enfin, ce n’est pas pour de suite et aujourd’hui, je vais te parler d’un état de fait de non parité flagrant : pourquoi n’y-a-t-il que des nains de jardins et pas de naines ?!!!
Je sais, ça, c’est du journalisme d’investigation. Enfin, ça aurait dû. Mais comme je n’ai absolument pas le temps d’aller enquêter dans les jardins de mes voisins, je fais appel à mon sens de l’observation quand je me balade et autant je me souviens avoir vu des nains décorer des massifs de plantes, autant pas de naines en vue !
Mais pourquoi ?! Maintenant que j’y pense, ça me travailler cette histoire et pour le coup, je vais vraiment mener ma petite enquête et peut être même que ça intéressera des magazines comme Closer, ou allez, soyons fous, le grand Voici.
Car j’ai de l’ambition : écrire des histoires de nains (de jardins, ou de gosses) et les faire publier en arrivant à faire croire que j’ai révolutionné le truc. Ça, c’est du projet, t’en penses quoi ?
Cela dit, j’avoue que je ne sais pas du tout pourquoi la parité n’est pas respectée dans nos jardins. Et comme j’ai la flemme d’aller chercher si de brillants cerveaux se sont penchés sur la question, pour ce soir, tu n’auras pas de réponse. A moins que tu te rues sur l’ami gogol pour lui demander son avis, auquel cas je te demanderai de lâcher ton comm’ pour m’expliquer ce qui se dit sur la toile à ce sujet.
Je sais, c’est juste scandaleux, parce que ce n’est pas ton rôle. Mais rassure toi : puisque je suis une vieille peau (n’est-ce pas les filles ?), j’en connais qui vont être de corvée de recherches pour nous raconter la passionnante histoire du nain de jardin version mec. Pour ne pas les citer, Valérie S. et Anne-Claire J. ; tu ne dois pas oublier que je peux écrire des bêtises, mais je peux aussi me lâcher, médire et pester. Eh ouais, c’est ça, être rédactrice web : la puissance des mots au service du client. (Tiens, ça ferait un bon slogan ça d’ailleurs…)
J’attends donc le rapport complet de ma chère collaboratrice sur cette inégalité hommes / femmes dans nos jardins et ne manquerait pas de la tanner avec ça. Eh ouais. Et pas d’excuse, Val’, ne te cache pas derrière ton manque de nicotine pour pas bosser.
La prochaine qui me fait remarquer que je n’ai plus vingt ans se paiera les recherches sur pourquoi la vache qui rit rit ? Ou pourquoi dit-on « pique-niquer » ? Je me demande si le deuxième terme suit l’activité première ? Mais alors, on piquait quoi ?
Bref, si tu aussi tu te poses des questions débiles, je t’en prie, fais nous les partager, histoire qu’on se marre un peu. D’ailleurs, je suis certaine qu’il existe des forums de questions débiles, voire même un groupe sur Facebook qui s’interroge sur des questions aussi existentielles que celles de ce soir (la première qui le trouve a gagné).
Je sais, je devrais avoir honte, je fais de l’anti journalisme. En même temps, je me lance dans la rédaction web humoristique, je suis donc pardonnée pour mes inepties non ? Allez dis oui. Et surtout, ne me parle plus de mes rides, de ma petite trentaine ou de mon ventre tout flasque. Interdit.
Une dernière chose : si tu ne me suis pas sur Facebook, mon deuxième dossier est sorti sur Plurielles :
http://www.plurielles.fr/parents/diaporama/la-vie-de-notre-maman-blogueuse-un-apres-midi-au-parc-animalier-6333026-402.html
A bientôt pour d’autres questions déroutantes et j’attends des réponses sur cette histoire de nains.
Encore et toujours un mec ! Et un vrai de vrai, là, pour le coup!