Art et sciences ou art science, l'espace source supplante l'espace-temps, art contre la physique?

Publié le 07 janvier 2011 par Lilioto

Art et sciences ou art science, l'espace source supplante l'espace-temps, art contre la physique, une nouvelle relativité? Cet article déjà publié le 27 juin 2009 a été modifié. Un article qui aborde la métamorphose de l’espace source, l’évolution de l’espace temps, des formes potentielles, des formes latentes. Vous trouverez ci-dessous, un diagramme qui innove ou anéantit le concept d’espace-temps au profit de l’espace-source et qui dessine une nouvelle relativité qui réfute je pense sans avoir les capacités scientifiques de le démontrer une partie des travaux d'Albert Einstein. Est-ce une théorie qui relève uniquement de l’esthétique ou peut-elle s’adresser à un champ plus large et notamment celui de la science et de la physique, de la relativité ? J’avoue que je n’ai pas la réponse, je ne suis pas un scientifique et ne m'interresse pas de l'être. Cette étude ne relève pas d’une étude scientifique, on dit "art et sciences", "art science" et non pas les "sciences de l’art", l’art n’est pas une science. Vous trouverez une approche différente de la science et de la physique sur la lumière, sur la notion d’espace-temps, puisque à mes yeux il n’existe pas de temps dans l’absolu ni de temps relatif mais uniquement un temps surdéterminé (TS). Vous trouverez une autre approche du passé, présent et du futur, la notion de plan originel si cher à Kandinsky mais ici qui relève d’un plan - espace – source- comme une dynamique synonyme d’énergie. D’anneaux de lumière résultant d’un amalgame inertiel. Succédant à la deuxième et la troisième dimension, une dimension intermédiaire le rapport 2,5D, la dimension de la lumière. Les champs du ailleurs bouleversent le concept d’ailleurs dans le cône de lumière de Hermann Minkowski (mathématicien et physicien théoricien allemand). Mon cône n’a pas la forme du sablier d'Hermann Minkowski car le temps est surdéterminé (TS) et donc il n’est représenté que par un simple cône. A mes yeux, la lumière est dans un rapport 2,5 ou la position intermédiaire entre la deuxième et la troisième dimension (2,5D). Le cône est un cône d’énergie. Ces modifications de perceptions de la représentation délaissent la notion d’espace-temps tel qu’il est défini par la science et la physique au profit d’un espace-source. Ces théories modifie par exemple les travaux du « Philosophe », Paul Virilio, car elle réfute la notion de temps et donc obligatoirement celui de l’instantanée, d’une dictature du présent ou d’une théorie de la catastrophe. Les deux derniers diagrammes expliquent que les formes potentielles sont issues des formes latentes associées à la notion de perte, que cette dictature du présent est altérée de fait par le cône d’énergie qui engendre les formes potentielles et la représentation de l’ « ailleurs ». Il n’y a pas de notion d’instantané, mais une métamorphose des configurations du latent qui dans son évolution est synonyme d’une dévaluation résultant de cette notion de perte qui féconde les potentialités du singulier ou d'un ailleurs.



Ci-dessus, mes recherches sont sur l’espace-source, l’espace-temps et surtout la lumière. En art et surtout dans la peinture on peut parler d’espace-lumière. Ces recherches s’inscrivent dans une longue tradition chez les artistes peintres à travers toute l’histoire de l’art. Cette étude que je mène depuis plus de 25 ans, à Lyon, puis Paris, Bordeaux et aujourd'hui dans le Languedoc Roussillon découle certainement des travaux de Diego Velasquez dans les Ménines et de travaux plus contemporains comme ceux du peintre américain Frank Stella. Aujourd’hui mon travail croise celui de la science, peut-être de la physique, dans cette mouvance "arts et sciences" ou "art science", mais il ne fait que de « croiser » la science. Les scientifiques recherchent des nouveaux systèmes de représentation alors que nous artistes bien modestement recherchons uniquement de nouvelles figures de la représentation. J’ai fondé il y a trois ans un mouvement artistique « la Nouvelle relativité », cette étude en est le miroir.
Au départ dans les années 80, j’ai recherché une figure intermédiaire entre la peinture et la sculpture, ou une figure réunissant les valeurs intrinsèques de la peinture et de la sculpture. Mes premières installations « en strates » m’ont éconduit à réfléchir sur la lumière, son implication et sa réelle fonction dans l’histoire de la création picturale et sculpturale. De fait mes recherches m’ont renvoyé à la bidimensionnalité et la tridimensionnalité. Au début des années 90, j’ai compris que seul un cône de lumière avait ce potentiel intermédiaire. Bien sûr, cette déduction m’a rapproché de la physique. Ces dernières années, j’ai compris que mes recherches ne pouvaient avancer que si je repositionnais l’art dans de nouvelles perspectives esthétiques et plastiques. Redéfinir une nouvelle introduction à l’art non pas comme un critique ou un historien mais comme un artiste en quête de nouveaux outils. Je n’ai pas fait table rase de tout ce que j’avais appris ou pu constater car je trouve la notion de rupture dans certaines avant-gardes totalement suffisante, débile, surannée, une vue de l’esprit qui frise le puritanisme. Donc ces 5 dernières années, j’ai résumé les grandes familles de la création des arts plastiques en deux grandes familles ayant deux objectifs : le recherche sur les figures latentes et la recherche sur les figures potentielles, sachant que certaines œuvres sont le fruit de ces deux types de recherches, comme par exemple pour la plus récente « Guernica » de Pablo Picasso. J’ai du diversifier ma propre pratique artistique, c'est-à-dire mener plusieurs pratiques de front et pour certaines revenir à des formes plus classiques comme le modelage, la peinture en parallèle à mes propres recherches. Comprendre ce que sont ces formes latentes et quelles étaient leurs véritables places dans l’échiquier de la représentation et par sa pratique rechercher ses évidences implicites, d’où, l’ethnologie de l’insignifiant. « Défaire le pli, déplier, c’est déplier ce qui est impliqué en lui, l’en extraire par ce qu’on nomme justement une ex-plication. » mais comme le souligne Henri Maldiney dans art et existence: « Mais aucune création ne se comprend de cette manière ». Alors j’ai refait les gestes essentiels, plier la terre, la déplier, la modeler, la remodeler, représenter pour comprendre ce qui était impliqué dans ces gestes si traditionnels hérités de milliers d’années de pratique, pour fouiller cette ex-plication dans cette im-plication, compénétrer non pas la création mais l’acte, un acte contemporain dont contrairement à ce que dit Henri Maldiney nous ne sommes pas à l’origine mais qui n’est à mes yeux que « le pli » des origines et donc au fil des siècles une création qui se cristallise en une déflation inévitable. Grave erreur de mépriser cet art d’expression de formes latentes au nom de cette déflation, au nom du rejet de la "sensiblerie", car c’est à travers ce miroir indispensable des pratiques artistiques considérées à tord comme redondantes que nous puisons les évidences implicites des rythmes et des évolutions de toutes nos civilisations contemporaines. Les gommer permet à certains pouvoirs de manipuler les populations en substituant les schémas de l’évolution par un capital composé des variations de convergences de mutations à la conversion des préceptes de marché et de soi-disant libre échange. Grave aliénation et aveuglement d’invalider artistiquement ce potentiel de formes latentes car elles sont comme la « cheville ouvrière » des recherches sur les formes potentielles, les conditionnent et les délimitent, les spécifient et forment le capital essentiel à ce que l’on nomme la « valeur de l’esprit » ou « la valeur de la pensée ».
Cette étude ne relève pas d’une étude scientifique, on dit "art et sciences" et non pas les "sciences de l’art", l’art n’est pas une science. Vous trouverez une approche différente de la science et de la physique sur la lumière, sur la notion d’espace-temps, puisque à mes yeux il n’existe pas de temps dans l’absolu ni de temps relatif mais uniquement un temps surdéterminé (TS). Les champs du ailleurs bouleversent le concept d’ailleurs dans le cône de lumière de Hermann Minkowski (mathématicien et physicien théoricien allemand). Mon cône n’a pas la forme du sablier d'Hermann Minkowski car le temps est surdéterminé (TS) et donc il n’est représenté que par un simple cône. A mes yeux, la lumière est dans un rapport 2,5 ou la position intermédiaire entre la deuxième et la troisième dimension (2,5D). Le cône est un cône d’énergie. Ces modifications de perceptions de la représentation délaissent la notion d’espace-temps tel qu’il est défini par la science et la physique au profit d’un espace-source. Voilà, mes recherches continuent même si comme beaucoup d’artistes, je n’ai pas financement, plus d'atelier (pas les moyens de payer un loyer), pas d’espace de diffusion correct, et je vis comme un très grand nombre d’européens en dessous du seuil de pauvreté dans un pays très riche, la France, qui préfère écouter et soutenir les lobbying financiers ou les
les lobbyings intellectuels échafaudés comme des produits dérivés de l'industrie culturelle et donc populiste. Lili-oto

1ere photo : mes cônes de lumière (à droite lili-oto)

2eme photo: cône d'énergie ou cône inertiel

3eme photo : espace - plan - source

4eme photo : théorie sur l'espace-source, temps surdéterminé qui réfute l'espace-temps

un autre point de vue que la physique et le cône de lumière du physicien et mathématicien Minkowski:


L'espace-source selon Lili-oto



J’ai longtemps considéré que cette vidéo en 3D que j’ai conçue représentait l’évolution du diagramme de l'intervalle d'un espace-temps avec la notion de temps surdéterminé, aujourd'hui je pense que c'est le rythme, l'évolution et la métamorphose de l'intervalle espace-source le produit ou le fruit de ma notion d'anneaux de lumière. * Une autre vidéo sera bientôt mise en ligne sur l'origine de la lumière selon mes propres analyses ou d'autres diront selon mes propres fantasmes d'artiste, ma propre croyance irraisonnée, etc... je ne suis pas un artiste institutionnel et donc pas subventionné, le marché international de l'art n'est pas ma tasse de thé. Je suis un artiste de gauche et je suis pour un autre monde, équitable, respectant la biodiversité et surtout pour une économie à visage humain.

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