Pas pour une nouvelle politique linguistique au Québec

Publié le 24 janvier 2008 par Allpeopleunite
Le plus nouveau gémissement du chef de l'Action Démocratique du Québec Mario Dumont est trop stupide pour être attendu, même par ses critiques plus fervents. M. Dumont, après l'automne de la Commission Bouchard-Taylor, il veut re-ouvrir le débat sur les accommodements raisonnables, cette fois en matière de l'assimilation linguistique des immigrants, après la révélation que francophones de Montréal ne compte plus que 53 percent des résidents. M. Dumont contient que c'est une situation grave qui doit être remédié par une politique d'immigration nouvelle, plus prudente, en considèrent la décision récent pour augmenter le nombre de nouveaux immigrants au pays pour séjour de 45 mil à 55 mil.
À premier, la situation n'est pas mal pour les francophones, démontré par l'étude récent sur les langues d'usage des entreprises de la 405. Francophones ne se trouvent pas comme minorité, la langue de travail et de fonction publique sera toujours le français, après les avancements procurés par la Charte de la langue. Les Montréalais du futur seront plus diverses, mais moins capable de parler le français: presque tous les enfants au Québec peuvent parler le français quand ils sortent de seconde V, donc les enfants des immigrants seront francophones couramment, n'y a pas de choix, grâce à politique linguistique du pays, donc ce souci n'est pas raisonnable. Deuxième, la grande majorité des immigrants parler le français, la figure 40 000 de 45 000 nouveaux arrivants au pays sont déjà francisés, donc un réduit des immigrantes nouveaux n'affecterait pas la situation.
Pour M. Dumont et son équipe dit «vedette», les études dévoilées récentes sont données par Dieu pour aider-leur dans leur croisade pour un protéger leur patrie contre l'invasion étrangère. Une nouvelle politique linguistique est la solution raisonnable pour remédier un problème linguistique, s'il existe. Seul l'ADQ penserait que tels problèmes peuvent être fixés par une change dans la politique d'immigration. Mais ce n'est pas une solution, pour ce problème non-existante.