Zac Snyder tient sa Lolita : Emily Browning. Elle créve l'écran par sa beauté et son cocktail rare : Regard de victime + Amazone au combat..unique ! Dans la grande tradition des actrices australiennes, elle chante parfaitement aussi. On est impatient pour elle, qu'un metteur en scène plus adulte, joue avec subtilité de sa féminite si singulière.
Raison N°2 : "Se faire du bien aux oreilles, avec la BO de Sucker Punch"
Une fusion parfaite entre la chanson entêtante de Björk "Army of Love de Bjork" (déjà utilisée dans le film Showgirls) et la composition hard rock de Tyler Bates.
Raison N°3 : "Se faire un benchmark facile des DA qui marchent à Hollywood"
La DA de Snyder à défaut d'avoir un style propre, est un best of visuel des tendances 2011...un benchmark brillant d'1H50, je dis oui !
Raison N°4 : "Se la péter après la sortie, car on a tout compris..."
Le scénarion de Sucker Punch, c'est un peu Inception pour les nuls, on comprend tout, même si tout sonne compliqué.
Raison N°5 : "Faire son vieux con, en toute liberté !"
Sucker Punch est bourré de références à la culture Geek des années 80 et 90, faites vous plaisir à étaler la vôtre, devant un public jeune et fasciné...enfin, vous pouvez l'espérer !