Et comment l’ignorent-ils ?
En négligeant l’aspect scientifique fondamental, car ils ne le sont pas justement, scientifique. Ce sont des littéraires qui se consacrent essentiellement à la lecture et à l’étude des cas sans tenir compte des données scientifiques qui sont mises à jour au quotidien depuis plus d’une cinquantaine d’années, et pour cause, ces données ne sont pas menées par eux, ce ne sont donc pas leurs découvertes qu’ils exploitent, lorsqu’ils le font et pire à présent comme le signale le Dr Andréani, "la PAO ou Psychiatrie Assistée par Ordinateur est en marche, et ce sont les machines qui bientôt décideront de qui est normal ou anormal, de qui est social ou asocial. Les bons à droite, les méchants à gauche (ou l’inverse)." "Le meilleur des Mondes" est pour bientôt. Et les Gauchers dans toute cette confusion, seront-ils toujours considérés comme des parias ? Comme des anormaux ?
Comme je l’ai déjà signalé dans mon dernier article, le comportement humain n’est pas seulement lié à la psyché mais également à l’alimentation qui provoque indubitablement des réactions au niveau comportemental. Si l’on admet aujourd’hui que 100 gr. de chocolat noir tuent un chien de 10kg, pourquoi des aliments que nous ingérons ne produiraient-ils pas des effets similaires plus ou moins fort ?
Pourquoi notre chimie organique n’auraient-elle pas des effets sur notre comportement psychologique ?
Du simple point de vue du comportement après un repas bien arrosé, le participant se sent lourd, ballonné, d’une humeur maussade car son estomac, son usine de traitement a du mal à gérer cet afflux alimentaire. Maussade, grognon, il n’aspire qu’à une chose, disparaître, s’enfuir dans les bras de Morphée pour éliminer les toxiques qui l’empoisonnent momentanément.
Lorsqu’il est ivre, il n’est plus lui même, il est un autre, il perd la tête, il fait des choses qu’il ne ferait pas en tant normal, ou peut-être les feraient-il mais la morale et la société l’en empêche ; mais ivre, il est libéré des carcans sociaux, il est libre d’agir et il commet des actes qu’ils ne commettrait jamais en temps normal, puis après avoir commis ses horreurs, il a tout oublié, il efface de sa mémoire son action à mesure que le poison se dissipe.
Voici un cas d’intoxication et de réaction que les psychologues ne considèrent pas, or ne pas les considérer c’est admettre que ce type de pollution du corps se limite seulement à cette forme de pathologie sans penser à de nombreuses autres qu’ils ont fini par catégoriser comme maladie psychiatriques.
J’ai lu le cours DUMENAT PHYTO-AROMATHERAPIE du Dr Christophe Girardin Andréani, faculté de médecine Paris XIII, il est édifiant car il démontre avec force d’exemples et de recherches que certaines maladies telles que l’autisme ont des rapports étroits avec l’alimentation et les allergies alimentaires causées par celle-ci. Si l’on admet qu’une pastille verte ou bleue, un psychotrope, un antidépresseur, peut calmer un individu, comment pourrait-on douter de la pollution que pourrait occasionner dans le corps des produits et leurs dérivés. Le lactose, le gluten par exemple, et ne croyez pas que ces produits soient inoffensifs, ils contiennent une véritable toxicité qui ne touchent pas tous les hommes et les femmes de la même manière.
Les psychologues vont de leur côté se borner à étudier un sujet et à le catégoriser, à le classifier :
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- C’est un autiste, un asperger, un truc ou un bidule.
Dans le fond, tout le monde peut se borner à observer et à répéter bêtement cette forme de constat.
Mais est-ce intelligent ?
Certainement pas, c’est de la bêtise et de la perte de temps, car le constat sans solution est parfaitement inutile, on comprend alors pourquoi les psychiatres, qui sont eux des médecins regardent de très haut ces petits hommes qui se prennent pour ce qu’ils ne sont pas et qui ont l’arrogance de prétendre tout savoir. Car, à force de constater leurs échecs répétés face à leurs patients, une base scientifique leur aurait peut-être permis d’approfondir et de trouver des solutions plus adéquates en matière d’efficacité des traitements à appliquer pour aller vers une guérison. Et la guérison n’implique pas nécessairement un traitement, un protocole chimique mais peut-être une refonte du régime alimentaire du patient.
Mais la guérison d’un malade est-elle nécessaire ? Après tout, il rapporte plus malade que guéri. La psychologie est actuellement un fond de commerce qui rapporte plus financièrement qu’en progrès notables pour la médecine.
- «
Pendant les séances, j'utilise le pouvoir de l'excitation pour vous faire gagner plus de contrôle sur votre vie. L'objectif est d'utiliser la nudité de sorte que vous puissiez mieux vous comprendre, vous et le monde qui vous entoure, pour que vous vous sentez grand et puissant et parce que l'excitation ressentie pendant les scéances peuvent vous conduire à ressentir plus d'excitation en dehors des séances
. »- « vous sentez grand et puissant » qu’est-ce qu’elle sous entend par là ?
Il me semble qu’elle a raté sa vocation première, car pardonnez-moi d’utiliser ce terme, mais cette attitude ne relèverait-elle pas de la plus intime perversion chez une femme, sorte d’allumeuse se drapant sous la dignité du titre pour justifier son vice, on aura tout vu et ces hommes, incapables d’avouer leurs pêchers de voyeur, sous prétexte d’un contrôle de soi et de ses pulsions. Sont-ils des animaux pour être ainsi incapables de se contrôler ? Je me demande si une call girl ne reviendrait pas à une meilleure thérapie pour la libération des frustrations sexuelles de ces hommes, enfin, de ces patients ?
En clair, nous pouvons constater que la psychologie et son enseignement sont absolument incomplets dans l’état actuel de son existence. N’oublions pas que Sigmund Freud était médecin, ainsi que Jung et que les plus grands psychiatres de notre temps.
Les psychologues sont de leur côté une clique d’individus qui tentent de trouver des remèdes à leurs propres troubles en s’efforçant de prétendre soigner ceux des autres. Soyons sérieux, est-ce vraiment une discipline nécessaire, est-ce un métier ? En tous les cas il est incomplet.
Admettons qu’il existe des praticiens remarquables au sein de cette profession, mais combien sont-ils au juste par rapport à l’immensité des prétentieux, arrogants, qui considèrent, souvent avec une fausse humilité, être si supérieurs à la moyenne alors qu’en réalité, ils sont tristement comme vous et moi, de simples mortels, mais avec un ego surdimensionné. Ils me font souvent penser à ces êtres de petites tailles qui font tout pour être remarqué, tout pour que l’on sache qu’ils existent et qu’ils sont... lamentablement humains.
Nous vivons une époque formidable…
PS : faites nous part de vos expériences avec les psy, vous avez l’occasion d’en parler, lâchez-vous.
crédit photo : Sarah White, psychologue (New York) pratiquant sa méthode psychologique révolutionnaire avec les hommes.